Rappelant les réflexions conduites par la commission des affaires culturelles sur les librairies de centre-ville, Mme Lucienne Malovry a fait part de sa préoccupation quant à l'avenir des magasins de livres et de journaux, compte tenu du niveau des loyers et de la baisse des ventes, même dans les gares. Elle a partagé l'idée selon laquelle le portage constitue le meilleur moyen de permettre une lecture quotidienne de la presse.