La France signataire du Traité de Rome respecte totalement l'indépendance de la Cour et de ses magistrats de la CPI et n'est pas fondée à mettre en doute le travail du procureur Ocampo qui est parfaitement désintéressé. A propos du dernier mandat d'arrêt, la question s'est posée sur la qualification de génocide que la Cour a finalement retenue. Le gouvernement français n'a pas à prendre parti.
Sur la frontière, les discussions sont loin d'être terminées et cela pose la question de ceux qui seront reconnus comme électeurs. On peut déconnecter les deux référendums, celui du Sud et celui de la région d'Abyei, mais il faut régler la question des frontières et des votants.