C'est le comportement des dirigeants soudanais qui est en cause : si Djafar Nemeiri n'avait pas promulgué la chari'a, il n'y aurait pas eu de demande d'indépendance de la part du Sud. Certains responsables du Nord le reconnaissent aujourd'hui ; ils regrettent de ne pas avoir rendu l'unité plus séduisante. Comme l'ensemble des personnes occidentales, nous prêchons la modération et disons que l'intérêt du Sud est d'avoir une bonne relation avec le Nord.