a confirmé que les taux de scolarisation des enfants de deux ans varie selon les territoires dans un rapport d'un à trente cinq. Il a souligné que l'éducation nationale ne dispose pas de données relatives au comportement des familles, à l'hétérogénéité des structures familiales, à leurs revenus, et qu'en conséquence, il revient à l'INSEE d'approfondir les études sur les causes locales de ces disparités. Il a relevé que la mise en place d'une « base élèves » améliore le travail de prévision sur le nombre des enfants scolarisés.