a considéré que la COFACE était un acteur important du soutien au commerce extérieur français, dont les instruments sont encadrés par les règles de l'OCDE afin de respecter une concurrence équitable. Il a relié l'augmentation actuelle des garanties à la conclusion de grands contrats d'exportations tels que les équipements nucléaires. Il a ajouté que le processus décisionnel s'appuyait sur le professionnalisme de la COFACE et de la DGTPE, dont le directeur général était parfois conduit à demander des instructions au ministre de l'économie. Il était cependant « rarissime » que le ministre prenne une décision contraire aux recommandations de l'administration.