a tout d'abord rappelé que France Télévisions avait tenu l'ensemble de ses engagements, et que son bilan pour l'année 2007 avait été publiquement salué par le Conseil supérieur de l'audiovisuel (CSA), qu'il s'agisse des investissements dans la production ou des succès d'audience des chaînes du groupe.
Concernant la réforme de l'audiovisuel en cours d'examen par le Parlement, il a souligné que les trois mutations étaient liées :
- la réforme du financement, du fait de la disparition programmée de la publicité, qui avait été anticipée par les annonceurs dès 2008 et avait nécessité une dotation en capital de 150 millions d'euros ;
- celle de l'entreprise, requérant une réorganisation de l'ensemble du groupe et la recherche de synergies budgétaires ;
- les transformations de l'industrie audiovisuelle elle-même, dans le contexte d'un essor de nouveaux modes de consommation de l'image.
Un large débat s'est alors instauré.