Nous l'avons bien senti et j'avais essayé, sans succès, de convaincre Christian Blanc de lancer un débat spécifique sur Saclay. Quand on investit plus de 300 millions d'euros dans des bâtiments universitaires, c'est nécessaire. A défaut, on est passé à autre chose et on s'est inquiété « d'un métro dans les champs de betteraves » : il aurait fallu un débat sur les écoles, les entreprises et les gens auraient commencé à croire au projet .... Il est vrai que le directeur général de l'établissement public ne souhaitait pas un débat public tout de suite. Reste que quand on ne joue pas le jeu de la transparence, on introduit un biais.