a estimé que les responsables politiques ne devaient pas se mettre au niveau des scientifiques ou des industriels, mais de l'intérêt général. Celui-ci demandait que soient faits des efforts de transparence et de pédagogie. Il convenait également de respecter les autres types d'agriculture, et notamment le modèle agricole des pays en voie de développement. De ce point de vue, les semences stériles ne pouvaient que soulever des oppositions. Il en a conclu à la nécessité d'une loi en ce domaine, celle-ci ne dispensant pas d'une évolution des mentalités.