s'est dit surpris de la crise traversée par EADS, entreprise qui avait toujours été choyée par la République. Il a estimé que le bicéphalisme de sa direction, résultant d'un compromis politique, avait eu des effets négatifs. Evoquant la récente promesse du Premier ministre d'un soutien financier pour les sous-traitants, il s'est demandé si cette aide correspondait aux besoins effectifs. Souhaitant savoir si la crise d'EADS était désormais totalement résolue, il a exprimé la crainte que le pôle d'excellence aéronautique français, situé aujourd'hui à Toulouse, ne soit transféré en Ile-de-France.