a rejoint l'analyse de M. Louis Gallois selon laquelle il n'incombait pas à l'industrie de la défense de définir les priorités de la politique menée en ce domaine. Elle s'est ensuite interrogée sur la portée de la prise de participation russe dans le capital d'EADS. Puis elle a attiré l'attention de M. Louis Gallois sur l'éventuel impact négatif de la fin du développement du missile M 51 sur l'emploi dans l'établissement concerné de Saint Médard en Jaille.