s'est félicité de ce que la commission procède à un débat approfondi sur cette question difficile. Il a estimé que le problème posé est avant tout d'ordre philosophique et qu'il repose sur l'autonomie de la personne. Si on accepte de reconnaître ce droit à l'autonomie, il faut en tirer les conséquences et permettre l'euthanasie active tout en l'encadrant par la loi.