a estimé que l'audition avait permis de compléter les informations données par le ministère de la culture en réponse à la question orale qu'il lui avait posée lors de la séance du 11 janvier dernier.
Il a souhaité des précisions sur les effets qu'auraient sur le marché de l'art les acquisitions nécessaires à la constitution des collections du musée d'Abou Dhabi, soulignant que ceux-ci pourraient varier selon qu'ils porteront sur des oeuvres du passé ou sur l'art contemporain.
Il a également demandé avec quels pays et suivant quelles modalités s'effectuaient actuellement les échanges avec d'autres musées étrangers, pour la réalisation d'expositions temporaires, et les accords qui réglaient ces questions.
Enfin, il s'est interrogé sur le degré de notoriété des oeuvres qui seraient ainsi prêtées et sur la façon de donner à ce « Louvre » les moyens de ses ambitions, sans affaiblir pour autant l'attrait des collections qui resteront dans les musées français.