a regretté que la représentation nationale ait été informée de ce projet par l'intermédiaire de la presse, et non pas par le ministre de la culture. Il a souhaité que l'issue de ce débat soit à l'honneur de la République et que de nouvelles solutions soient proposées.
Soulignant la nécessité de faire circuler les oeuvres d'art tout en dénonçant la marchandisation de ces dernières, il a insisté sur la nécessité d'humaniser le phénomène de mondialisation actuel.
Afin de trouver une issue positive à cette situation traduisant certainement le malaise du corps des conservateurs de musées, il s'est prononcé en faveur de la rédaction d'une Charte de bonne conduite sur le sujet.