a souligné le caractère passionnant du débat actuel. Il a souhaité que les pouvoirs publics définissent les conditions dans lesquelles des partenariats privilégiés pouvaient être passés avec des établissements étrangers afin d'assurer le rayonnement culturel français.
S'appuyant sur son expérience d'administrateur de la Fondation Maeght à Saint-Paul de Vence, il a insisté sur le fait que l'importance des contreparties financières proposées à l'occasion des prêts consentis par les musées ou fondations était désormais prise en compte par ces institutions soucieuses d'équilibrer leurs comptes.