Le chiffre d'1 million d'hectares disponibles au niveau européen pour produire du vin est à rapprocher des 890 000 hectares que représente la surface agricole utilisée (SAU) dans le secteur viticole en France. On mesure la perturbation du marché qu'entraînerait la fin des droits de plantation.
Je souligne également que nous devons aussi convaincre de la justesse de nos positions les États membres de l'Union européenne qui ne sont pas producteurs de vins, afin d'obtenir une majorité qualifiée en faveur du maintien de ces droits de plantation.