a répondu que le livre bleu était un document de réflexion stratégique qui devrait se traduire par des plans d'actions comprenant des mesures concrètes, dont certaines nécessiteront un accompagnement financier mais dont d'autres pourront se faire à budget constant. Certaines de ces mesures ont été retenues lors du comité interministériel de la mer.
A cet égard, il a cité le projet de développement des énergies renouvelables en mer, qui soulève davantage des difficultés d'ordre administratif, la procédure de permis de construire étant inadaptée en mer, que des problèmes financiers, étant donné l'intérêt suscité par ce projet chez les industriels.
Il a estimé qu'une politique maritime ne pouvait être qu'une politique de long terme et que le plus important était de garder le cap sur une longue durée.