a reconnu l'extrême difficulté de la mission confiée à M. Alain Le Roy. Puis il a évoqué la difficulté qu'avaient les juridictions internationales à recueillir les preuves nécessaires à la répression des crimes contre l'humanité, et s'est interrogé sur l'éventuelle participation des forces de l'ONU à cette collecte, soulignant le caractère imprescriptible de ces crimes.