Les chiffres font apparaître quelques accroissements de crédits qui mériteraient peut-être des commentaires : les crédits du programme « Handicap et dépendance », en hausse de 8,5 % par exemple, ou encore ceux affectés au fonctionnement des ARS, qui progressent de 6,3 %. Faut-il imputer cette augmentation aux besoins de la période de mise en place des agences ? Dernière question, enfin : pourquoi les crédits destinés au « pilotage de la sécurité sociale» apparaissent-ils ici, dans ce budget et non pas dans le projet de loi de financement de la sécurité sociale ?