Tout en comprenant la nécessité de réhabiliter la discussion des amendements et d'améliorer le contrôle de l'exécution budgétaire, M. Jacques Legendre s'est montré dubitatif quant à l'opportunité de réduire la durée consacrée à la discussion générale lors de l'examen en séance du projet de loi de finances.
Prenant l'exemple de la francophonie, dont les crédits sont dispersés au sein de plusieurs missions différentes, il a estimé que les débats portant sur la cohérence globale d'une telle politique ministérielle n'avaient de sens qu'au moment de la discussion générale.