a partagé le constat qu'au travers des premières auditions réalisées, la proposition de loi abordait un véritable problème que tout le monde s'accordait à reconnaître et vouloir traiter. Aussi, il a exprimé son adhésion à la proposition du président de créer une mission d'information sur le sujet. Il n'a pas souhaité, en effet, enfermer cette question dans un débat strictement politique en séance publique, et a considéré par ailleurs, sur un plan pratique, que l'inscription du texte à l'ordre du jour réservé du 22 juin imposerait des délais beaucoup trop brefs pour aboutir à des conclusions étayées.