a rappelé qu'aucune contraction du crédit n'était constatée sur la base des chiffres de novembre 2007. Elle a rappelé que la première réaction de la BCE à la crise des « subprimes » avait été saine, mais a affirmé partager la conviction du rapporteur général, selon laquelle la poursuite du seul impératif de la stabilité des prix correspondait à une époque qui avait changé, et que l'impératif de croissance méritait d'être pris en compte par la banque centrale.