a estimé que l'exercice de la présidence française de l'Union européenne serait probablement entravé par les divergences de vues entre la France et l'Allemagne quant aux questions de gouvernance économique et d'intégration de la supervision des marchés. Elle s'est, de concert avec M. Jean Arthuis, président, interrogée sur les conséquences, pour l'assiette de l'impôt sur les sociétés, des provisions constituées par les banques pour faire face aux retombées de la crise des « subprimes ». Mme Nicole Bricq a enfin questionné la ministre sur les éventuelles pressions exercées par le gouvernement quant à une éventuelle démission de M. Daniel Bouton, président-directeur général de la Société générale.