a confirmé cette appréciation, tout en contestant l'expression de « comité de crise » dans la mesure où il avait partagé un « secret lourd » dans le cadre d'une relation exclusive et « serrée », téléphonique et personnelle, avec MM. Christian Noyer, gouverneur de la Banque de France, et Gérard Rameix, secrétaire général de l'AMF. Il a insisté sur le fait qu'en tant que représentant du régulateur des marchés, il n'exerçait naturellement aucune responsabilité opérationnelle dans les décisions prises par la Société générale, mais qu'il n'avait fait qu'accorder à son président le temps nécessaire pour solder les positions.