a rappelé qu'il s'en remettrait aux conclusions et recommandations de la commission bancaire si l'ensemble des infractions, relatives à la violation des codes informatiques ou à la connaissance des procédures, était avéré. Il a ajouté que d'éventuelles atteintes à la « Muraille de Chine » censée séparer les activités de back et de front offices, constitueraient une infraction grave, eu égard à l'importance déterminante de ce cloisonnement, et que la commission bancaire examinerait les moyens concrets d'en renforcer l'étanchéité. Parmi les travaux prioritaires, la commission bancaire avait demandé à tous les établissements de vérifier que ces « murailles de Chine » étaient respectées.