a jugé que le principe du contrôle interne était d'empêcher de telles dérives, d'assurer le respect de limites précises sur les positions prises et un reporting régulier à la hiérarchie pour requérir, le cas échéant, ses instructions. Une révision générale des systèmes des banques serait néanmoins nécessaire pour assurer le respect de ces contrôles et limites. Il a ajouté que les provisions de la Société générale liées aux subprimes étaient bien distinctes de la perte due à la fraude, et que l'historique de l'accumulation des positions prises par le trader était bien au coeur de l'enquête judiciaire en cours. La sécurité informatique était également, selon lui, un élément déterminant de la « Muraille de Chine », et il importait donc de déterminer selon quelles modalités et fréquence les mots de passe et codes étaient modifiés. Cette sécurité ne pouvant être totale, il a considéré qu'il était nécessaire de rechercher en permanence les parades et améliorations pour accroître son effectivité.