a jugé que le choix d'une réaction rapide fait par les dirigeants de la Société générale était légitime. En effet, la situation avait été réglée en trois jours, suivant la méthode qui, dans ce type de circonstances, était réputée comme la meilleure : « se couper le bras » plutôt que chercher à « se refaire ». Par ailleurs, il a fait observer que la gestion des positions de la Société générale sur les marchés Eurex et Liffe n'avaient pas justifié d'observations de leur part. Il restait peut-être à examiner une démarche émanant d'Eurex à la fin 2007. Il a également relevé que les risques bancaire et boursier demeureraient toujours, quoiqu'on fasse, même si le rôle des autorités de régulation et de supervision consistait précisément à limiter ces risques, en améliorant les dispositifs de contrôle.