a souligné la pertinence des interrogations de Mme Nathalie Goulet et confirmé que les opérateurs pouvaient effectivement suivre précisément leurs positions. Il a ajouté que dans le cas d'espèce, le problème résidait dans le respect des limites qui leur étaient imposées et du « reporting » auprès des responsables hiérarchiques. Il a également considéré que les appels de marge constituaient un moyen parmi d'autres de s'assurer de la continuité des systèmes de contrôle et de ce qu'il ne subsistait pas d'opérations en suspens.