a jugé que les présidents des autorités de surveillance avaient fait preuve d'un certain courage en préservant le secret sur la fraude et les opérations consécutives sur le marché. Il s'est demandé si l'industrie financière française, qui constituait l'un des secteurs les plus performants de l'économie nationale, se trouverait durablement entachée par cette affaire et, au-delà de ce cas, si des actions avaient été entreprises, au niveau international, pour réduire les inconvénients de la titrisation, compte tenu du rôle que celle-ci avait joué dans la crise des « subprimes ».