Se demandant dans quelle mesure la France n'aurait pas perdu, ces vingt dernières années, son savoir-faire et sa compétitivité industriels en matière nucléaire, M. Jean-Pierre Vial s'est félicité de la reconnaissance au profit du CEA d'une compétence concernant les énergies alternatives. Puis, après avoir interrogé l'intervenant sur les moyens propres à mobiliser réellement les acteurs au sein des différentes alliances, il lui a demandé à combien s'élevait la part consomptible des ressources issues du « grand emprunt » et affectées au CEA.