Vous recommandez une meilleure articulation entre les médecines hospitalière et de ville. Or, j'observe que, dans les banlieues, ou les quartiers dit sensibles, le premier réflexe des habitants est d'aller directement aux urgences, non d'aller chez le généraliste de ville. Dans ces conditions, comment mieux articuler les deux secteurs ? Par ailleurs, les anciens financements de l'Etat - via les Ddass - pour la prévention, n'existent plus. Dans ces mêmes quartiers sensibles, les actions de prévention sont toujours indispensables. Or, les appels à projet des ARS ne répondent pas à ce besoin.