a rappelé qu'il n'avait eu connaissance que de la tenue de cette réunion, mais pas de la teneur exacte des échanges qui y avaient eu lieu, ce que le procès-verbal de la réunion de la commission de surveillance du 12 juillet 2006 avait traduit de manière sans doute trop synthétique. Ce procès-verbal signifiait pour la Caisse des dépôts et consignations que l'ensemble des dispositions résultant du pacte d'actionnaires avait bien été respecté. Il a assuré que s'il avait alors disposé d'informations plus alarmistes sur la situation réelle d'EADS, l'opération d'acquisition des titres EADS eût bien sûr été étudiée avec beaucoup plus de circonspection.