a reconnu que la gouvernance de la Caisse devait être adaptée dans le respect de l'originalité de la Caisse des dépôts et consignations et a insisté sur la capacité d'initiative dont disposait le Parlement, en particulier ses deux commissions des finances. Il a également considéré que le Sénat pourrait légitimement disposer de deux représentants, dont un membre de l'opposition, au sein de la commission de surveillance.