a d'une part indiqué que, chaque année, la commission de surveillance de la Caisse des dépôts et consignations et le comité d'examen des comptes et des risques étaient saisis de la stratégie d'allocation des actifs et que la commission de surveillance discutait et approuvait ces orientations. D'autre part, en réponse à M. Jean-Jacques Jégou, il a affirmé que ce n'est pas parce que l'on connaît ou que l'on côtoie quotidiennement certains membres de l'administration, que l'on discute nécessairement avec eux d'opérations en cours sur des sociétés cotées. Il a rappelé que la confidentialité était une exigence absolue de son métier et que celle-ci devait bien sûr s'appliquer quel que soit l'interlocuteur.