a reconnu que ces auditions étaient nécessaires à la bonne information du Parlement. Il s'est inquiété du risque que les interrogations sur l'attitude de la Caisse des dépôts et consignations n'occultent le délit d'initié relatif aux stock-options, qu'il a qualifié d' « inadmissible ». Il a rappelé qu'au début des années 1990, le fonctionnement de la Caisse des dépôts et consignations et le rôle de son directeur général d'alors, M. Robert Lion, avaient fait l'objet de suspicions, mais que la commission, en l'étudiant, avait alors mis en lumière l'efficacité et l'utilité de la Caisse des dépôts et consignations. Par conséquent, il a jugé important de ne pas faire douter l'opinion de l'utilité passée et présente de la Caisse des dépôts et consignations. M. Jean Arthuis, président, a confirmé que la commission avait bien organisé ces auditions dans le but de dissiper les soupçons infondés.