s'est interrogé sur les perspectives de remplacement du missile anti-char MILAN et a regretté les incompréhensions entre l'industriel, l'armée de terre et la direction générale de l'armement (DGA) qui conduisent aujourd'hui à des solutions insatisfaisantes. Mentionnant les achats sur étagère qui sont envisagés, il s'est inquiété des conséquences de cette décision sur l'avenir de l'industrie française dans cette gamme de missiles.