Intervenant sur ce dernier point, Me Ludovic Morand a estimé que le maillage territorial réalisé par les commissaires-priseurs judiciaires était lui aussi mis en danger par la proposition de loi et il a présenté comme une contradiction le fait que les sociétés commerciales puissent être habilitées à opérer des ventes judiciaires et que, inversement, les notaires et huissiers de justice puissent réaliser des ventes volontaires.