a indiqué que la formation des CPJ, placée sous la responsabilité conjointe du CVV et de la Chambre nationale des commissaires-priseurs judiciaires, se partageait à part égale entre le droit et l'histoire de l'art. Il a rappelé que n'y étaient admis que les candidats ayant réussi un examen d'entrée, et que ceux-ci étaient soumis en cours de cursus à un examen intermédiaire puis à deux examens de sortie, à l'issue de stages dans une SVV et, le cas échéant, dans une étude de CPJ pour les personnes souhaitant réaliser des ventes volontaires. De ce point de vue, il a estimé que cette formation était assimilable à une formation sur concours. Il a également indiqué qu'un certain nombre de cours d'histoire de l'art étaient dispensés en partenariat avec l'Ecole du Louvre, ce qui illustre le sérieux de cette formation.