a ajouté qu'en ce qui concerne la formation juridique, celle suivie par les commissaires-priseurs judiciaires était d'un niveau comparable à celle suivie par les huissiers de justice et inférieure à celle des notaires, mais que, en revanche, ces deux dernières professions ne disposaient en règle générale d'aucune expérience dans le domaine des ventes ni d'aucune formation, initiale ou continue, en matière d'art ou d'estimation du matériel industriel et des biens d'équipement. A l'inverse, il a souligné le fait que la formation à la profession de commissaire-priseur judiciaire comprenait le suivi de stages en alternance et de mises en situation professionnelle tout au long des deux années de formation.