J'observe que le ministère de l'Écologie paie le plus lourd tribut à la règle du non-remplacement d'un fonctionnaire sur deux, puisque le taux atteint en réalité est de 60 %. S'agissant de la politique de l'eau et les milieux aquatiques, la loi du 30 décembre 2006 sur l'eau ne mériterait-telle pas une réforme en profondeur, qui marquerait une vraie évolution ? On s'éloigne des objectifs du Grenelle de l'environnement, malgré les efforts, que je reconnais, de Nathalie Kosciusko-Morizet.