Rappelant que les tarifs de rachat des énergies renouvelables étaient pris en compte dans le calcul des charges de service public de l'électricité, M. Philippe de Ladoucette a observé que l'on peut très bien, si l'on considère que le développement de ces énergies relève d'une priorité qui doit prévaloir sur les considérations purement économiques, retenir un tarif assurant une rentabilité de 25 % des investissements, mais que la CRE, quant à elle, serait inévitablement conduite à considérer que, d'un point de vue économique, ce tarif serait trop élevé.