Après avoir souligné l'utilité d'une relecture des travaux parlementaires élaborés sur le sujet, M. Jean-Louis Borloo a relevé que la mise en oeuvre d'une fiscalité écologique internationale supposait une décision au niveau national. Il a ajouté que le transfert modal était une nécessité et qu'une réflexion devait s'engager pour élaborer un programme intégrant tous les modes de transport.