Relevant que, d'après des informations fournies par la presse, les crédits relatifs aux contrats aidés pourraient baisser de 30 %, M. Paul Raoult a souligné l'utilité de ces contrats pour des publics « à la limite de l'employabilité ». Jugeant nécessaire de remobiliser les allocataires du revenu minimum d'insertion (RMI), il a dénoncé une tendance récente de certains services de l'Agence nationale pour l'emploi (ANPE) à « rayer » ces derniers des fichiers et demandé que cette pratique soit condamnée de manière expresse par circulaire. Enfin, s'exprimant en tant que président du label touristique « Clévacances », il a évoqué les difficultés du tourisme vert et souhaité, en conséquence, la mise en oeuvre d'une politique plus active en faveur des labels, les crédits actuellement affectés à celle-ci étant insuffisants selon lui.