a approuvé l'idée selon laquelle l'agriculture était une partie intégrante de l'économie, ce qui avait du reste été bien mis en évidence à l'occasion de la discussion de la loi d'orientation agricole (LOA) de 2006. Il a rappelé les considérables atouts de modernité de l'agriculture française, à l'image de son patrimoine génétique animal et de sa capacité de niveau mondial en ce domaine.