a déclaré partager dans ce dossier les positions de ses collègues Roland Courteau et Gérard César. S'il comprenait dans ce dossier les positions du ministre au niveau européen, il souhaitait savoir quelle était sa conception de leur application au niveau national. Reconnaissant le caractère massif de l'arrachage prévu pour la France, il a jugé que, dans certains cas, celui-ci était la seule solution pour les agriculteurs désireux de partir à la retraite. Encore fallait-il que l'effort soit équitablement réparti sur l'ensemble du territoire. De ce point de vue, il a souligné à quel point la situation du département du Gard était dramatique. Il a jugé que sur le fond, rien n'avait été résolu depuis la visite du précédent ministre de l'agriculture, le moratoire sur les cotisations sociales décidé alors ayant été prolongé jusqu'à l'automne 2007 sans que l'on sache ce qu'il en adviendrait. Il a conclu sur ce point en déclarant que la réforme de l'OCM vitivinicole avait pris beaucoup de retard. Enfin, il s'est félicité de la position du ministre concernant la pêche à la thonaille.