Répondant aux intervenants, M. Dominique Mortemousque a insisté sur la nécessité de lutter pour défendre le rôle que pouvait jouer la ferme France dans l'avenir national, en valorisant sa puissance de production et son niveau technologique.
Evoquant la volonté des professionnels de « ne pas baisser pavillon » et de ne pas être payés pour des activités autres que la production, il a relevé que la traçabilité et la qualité des produits étaient aussi des atouts de l'agro-alimentaire français, sans oublier par ailleurs que l'agriculture nationale était celle qui pouvait se targuer d'avoir le mieux assuré la protection de la nature.
Il a donc appelé de ses voeux une action convergente de la profession et des autorités politiques pour construire un projet européen à la hauteur des potentialités de notre agriculture.