s'est interrogé sur la véracité du rétrécissement supposé de la zone polaire en Arctique. Sans contester que les émissions de gaz carbonique avaient aujourd'hui atteint un niveau jusqu'à présent inégalé et que la température à l'intérieur des villes de plus de 20.000 habitants dépassait de deux ou trois degrés celle de la campagne environnante, il a fait observer que des changements climatiques avaient été historiquement constatés en évoquant la fonte des glaciers pyrénéens vers 1750, ainsi que la glaciation qu'avaient connue, en un siècle, les pâturages de Savoie. Il a donc souhaité savoir quelle était la part de l'influence anthropique dans l'évolution climatique.