Après avoir félicité l'intervenant pour la richesse de ses propos, M. Jean-Guy Branger a estimé que la tâche du BVP était particulièrement ingrate, périlleuse et complexe, compte tenu notamment de l'évolution des mentalités et de la difficulté à trouver un juste équilibre.
S'associant aux observations de ses collègues sénatrices, il a estimé qu'un certain nombre de publicités utilisaient, de façon parfois plus ou moins pernicieuse, le corps de la femme pour améliorer les ventes. Il a signalé qu'au sein de l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe, de nombreuses voix féminines s'élevaient contre cette pratique. En conséquence, il a préconisé une vigilance toute particulière à l'égard de l'utilisation de l'image des femmes à des fins commerciales et, tout en reconnaissant que les intérêts en présence étaient particulièrement importants, a souhaité que soit mis un terme aux dérives qui dépassent les limites acceptables.