a estimé que les évolutions économiques étaient « plus subies que pilotées ». Il a néanmoins jugé que, dans le cas de l'Allemagne, les réformes structurelles réalisées par la précédente majorité commençaient à porter leurs fruits. Il s'est interrogé sur le poids du secteur du bâtiment dans la croissance économique, et sur l'intérêt d'accroître le pouvoir d'achat des ménages, alors que celui-ci suscitait davantage d'importations, et que cet objectif pouvait parfois sembler contradictoire avec celui de lutte contre le chômage.