a fait observer qu'il n'y aurait pas lieu de légiférer sur les rémunérations des dirigeants des entreprises si les recommandations établies par le MEDEF et l'AFEP étaient effectivement suivies d'effet. Il a marqué son refus de voir l'assemblée générale des actionnaires juger l'ensemble des rémunérations, estimant que la situation actuelle pourrait être améliorée grâce à la présence renforcée d'administrateurs indépendants au sein des comités d'entreprise. Il a souhaité connaître la situation actuelle.
Il a ajouté que, dans un contexte de mondialisation, il fallait éviter qu'une législation trop contraignante constitue un frein à l'attractivité des entreprises françaises.