En réponse à M. Eric Doligé, M. Michel Wachenheim a souligné que l'espace aérien ne pouvait être transféré et que l'existence d'un service de contrôle ne se justifiait qu'au-delà d'un certain niveau de trafic, en raison de son coût. Il a approuvé l'analyse de M. Yves Fréville sur cet indicateur particulier, faisant part de son souhait de le rendre plus clair d'ici à la prochaine discussion budgétaire.